Contrairement à Laura, sans les contraintes qui lui sont inhérentes également, j’ai beaucoup apprécié flâner des heures durant aux bords de ces ghâts, dérobant à la volée plein d’images, le plus souvent sans cadrer, appareil à la hanche. Sentiment de s’imprégner d’une ferveur, certes mercantile pour une partie des habitants d’Haridwar, mais bien réelle et communicative pour de nombreux pèlerins.
Récit brut de ces journées, qui commence avant l’aube pour se finir à la nuit tombée, où les rives du Gange deviennent le centre névralgique de cette ville. Où la mort croise la vie, sans même ralentir l’effervescence de ces moments sacrés.
Alexis B.
Merci Alex pour tes photos toujours superbes !!!
Saisissantes de vie …
Des photos plutôt que des mots…
Beaux travaux !